Plus de 18% pour le FN. L’ensemble de la classe politique qui se succède depuis 30 ans en France porte la lourde responsabilité du score élevé de l’extrême droite, témoin d’un repli national grandissant. Il est clair que le bilan européen catastrophique des partis traditionnels a contribué fortement au succès historique de la formation d’extrême droite.
Les demi-mesures en matière européenne qui ont été la règle générale des gouvernements de gauche et de droite, ont conduit directement à la dégradation de la situation économique et sociale des Français.
Les Traités élaborés, signés et ratifiés par les partis gouvernementaux ont organisé progressivement la destruction de l’emploi partout en Europe, la soumission du système économique à la finance, l’imbroglio néfaste de la dette et l’ouverture des frontières sans réel contrôle.
Quel que soit le vainqueur du second tour de la présidentielle, rien ne changera. Les programmes sont identiques, les solutions déjà vues.
Seul, le Parti Fédéraliste Européen propose un projet novateur et courageux qui protégera les citoyens et notamment les jeunes qui n’ont plus d’espoir dans les politiques proposées par les élites.
Aux élections législatives, les candidats du Parti Fédéraliste Européen représentent un vote d’espoir. Pour la première fois sur notre continent, une force politique européenne se présente aux élections et apporte des solutions crédibles en matière d’emploi, de sécurité et de finances publiques.
En 2013, nous porterons les mêmes idées aux élections législatives italiennes et allemandes. Partout en Europe, des électeurs feront le choix, d’une Europe libérée de la tutelle des marchés, dotée d’une puissance publique capable de relances économiques créatrice d’emplois et nous protégeant des dérives de la mondialisation.